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Yves Buffetaut
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Atlas de la Première Guerre mondiale ; la chute des empires européens
Yves Buffetaut
- Autrement
- Autrement Atlas
- 14 Avril 2021
- 9782746760998
Cet atlas retrace les origines, les enjeux et les conséquences de la Grande Guerre, dans toutes ses dimensions et à toutes les échelles.
- Les combats en Europe, les tensions au Moyen-Orient, les révolutions russes et l'implication des États-Unis attestent de la dimension internationale du conflit.
- Les grandes batailles ont marqué plus localement les pays : la Marne, les Dardanelles, Verdun, la Somme.
- La chute des empires, la création de nouveaux États et les rapports entre vainqueurs et vaincus sèment les germes du prochain conflit mondial.
Grâce à plus de 80 cartes et infographies, l'auteur analyse cette période charnière de l'histoire du monde que fut la Première Guerre mondiale.
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En 52 avant J.-C. éclate l'insurrection gauloise menée par Vercingétorix. Pour la première fois, une unité des différents peuples gaulois est accomplie, ce qui explique la position périlleuse dans laquelle Jules César va se retrouver.
Vercingétorix, dont en pense aujourd'hui qu'il a passé une partie de sa jeunesse comme auxiliaire gaulois dans l'armée romaine, connaît bien son adversaire et sait qu'il ne peut espérer le vaincre dans une bataille rangée. Les premiers mois de la guerre sont une succession d'escarmouches, Vercingétorix menant une forme de guérilla avant la lettre. César décide de rechercher la victoire finale en attaquant la capitale des Arvernes, Gergovie, dont Vercingétorix est le chef. Les combats, assez décousus, se terminent par un indéniable succès gaulois, forçant César à lever le camp. Vercingétorix se lance à sa poursuite mais sa cavalerie est détruite par les Germains et il se réfugie à Alésia, en attendant une armée de secours. Celle-ci est vaincue par César devant Alésia et Vercingétorix est contraint de se rendre. La Gaule deviendra romaine. -
Hartmannswillerkopf, un sommet en enfer : Alsace 1915
Yves Buffetaut
- Ysec
- 18 Août 2022
- 9782846734042
De la fin de l'année 1914 à l'automne 1915, les batailles à l'est du front française se cristallisent sur un sommet des Vosges, au nom difficilement prononçable pour les Français : le Hartmannswillerkopf, aussi appelé HWK par les Allemands et Vieil-Armand par les Français. Les combats y sont d'une rare violence pour un sommet complètement anonyme avant la guerre.
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LES BATAILLES DE METZERAL ET DU LINGE - VOSGES 1915
Yves Buffetaut
- Regi Arm
- 8 Février 2024
- 9782377830794
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Après avoir débarqué en Provence en août 1944, la 1re armée française remonte la vallée du Rhône. Elle arrive devant les Vosges du 15 au 20 septembre 1944. La bataille y est très rude contre la 19e armée allemande et contre les éléments, car le temps est très mauvais : pluie, puis neige et brouillard. LÂ'aviation ne peut intervenir que très rarement. Pour sÂ'emparer du sommet du Haut du Faing, le 6e régiment de tirailleurs marocains perd 100 hommes, mais pour le tenir sous lÂ'artillerie allemande et les contre-attaques, il en perd 700 de plus. La phase active de la bataille sÂ'achève fin octobre, mais la 1re armée attaque ensuite dans la trouée de Belfort et en haute Alsace pour atteindre le Rhin.
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L'offensive allemande des Ardennes, lancée le 16 décembre 1944, est bien connue, de même que l'héroïque défense de Bastogne encerclée. En revanche, en dehors du dégagement de Bastogne par le 3rd US Army de Patton, les événements qui mènent à la reconquête complète du terrain perdu en décembre 1944 ne sont jamais évoqués par les historiens.
Ce livre comble cette lacune et décrit avec précision la reconquête des Ardennes grâce aux efforts conjugués des Américains et des Britanniques, soutenus par une forte aviation.
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Raymond VI contre Simon de Montfort : le siège de Carcassonne et des châteaux cathares
Yves Buffetaut
- Ysec
- 20 Mai 2021
- 9782846733717
Après la destruction de Béziers en 1209, qui marque le début de la croisade contre les Albigeois, un chef se révèle parmi les croisés : Simon de Montfort, qui luttera sans répit contre les Cathares, jusqu´à sa mort en 1218 devant les remparts de Toulouse, ne renonçant jamais, même lorsque les effectifs lui font défaut. Bon tacticien, utilisant au mieux les machines de guerre, il grignote petit à petit les principales places fortes cathares : Carcassonne et Castres, en 1209, Minerve et Termes, en 1210, Cabaret, Lavaur, en 1211, etc. Il échoue, en revanche, devant Toulouse, tenu par son comte Raymond VI, qui mène une politique très ambiguë, soutenant tour à tour les cathares et les croisés, afin de sauver son comté coûte que coûte. Montfort est tué lors du second siège de Toulouse, en 1218 et Raymond VI parvient à reprendre l´essentiel des terres perdues lors de la croisade. Mais finalement, le roi de France Louis VIII conquiert tout le Languedoc à partir 1226
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Le 5 octobre 1914, les troupes bavaroises prennent pied sans combat sur le plateau de Notre-Dame de Lorette et bivouaquent à côté d'une petite chapelle. Ils s'y installent solidement et disposent alors d'un observatoire remarquable au nord d'Arras. Les Français parviennent à reprendre la chapelle dans les semaines qui suivent, puis la perdent à nouveau. La guerre revêt alors une intensité sans précédent sur le plateau de Lorette et ses environs. Ainsi commencent les batailles d'Artois qui vont coûter des centaines de milliers de vies, d'octobre 1914 à la fin de l'année 1915. Le 17 décembre 1914, dans le cadre de l'offensive généralisée voulue par le général Joffre, deux corps d'armée français attaquent dans une opération mal préparée qui se solde par un cuisant échec.
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Lyon, capitale gallo-romaine, a logiquement été la première ville où s'est répandu le christianisme, dès le lie siècle après Jésus-Christ. C'est pourquoi Lyon est devenue Primatie des Gaules, un titre qu'elle a gardé jusqu'à nos jours. Ce petit guide a pour objet de faire découvrir au visiteur, comme au Lyonnais, les aspects les plus insolites, comme les plus célèbres d'ailleurs, du christianisme à Lyon. Chaque itinéraire, thématique, nous entraîne hors des sentiers battus, dans les jardins comme dans les églises, dans les musées comme le long des fleuves, pour découvrir comment et pourquoi la ville de Lyon est et demeure la Primatie des Gaules. Au hasard des circuits, nous rencontrons des personnalités originales, comme sainte Blandine, bien entendu, mais aussi l'architecte Louis Bossan, l'artiste en vitraux Lucien Bégule, le terrifiant baron des Adrets, etc.
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Retrouver un soldat de 1914-1918 ; et le détail de ses quatre années de guerre
Yves Buffetaut
- Archives Et Culture
- Guides De Genealogie
- 4 Février 2021
- 9782350773759
Il est indispensable de permettre aux historiens et aux généalogistes de retrouver les souvenirs du "grand-père qui a fait 14". Pas seulement son nom, mais le détail de ce qu'il a pu vivre pendant quatre ans.
Parce qu'il a disparu, on pourrait croire que ses souffrances ou ses actes d'héroïsme sont oubliés, qu'ils sont partis avec lui. Or, avec toutes les bases de données Internet constituées à l'occasion des commémorations de la Grande Guerre, il n'a jamais été aussi facile qu'aujourd'hui de collecter des informations individuelles précises sur un ancêtre soldat, sous-officier ou officier, sur l'un de ces huit millions de "poilus" de la Grande Guerre, quel que soit son grade. Le ministère de la Défense a mis en ligne des bases de données d'une importance capitale pour les chercheurs. Des associations, des bénévoles et des bibliothèques françaises ou étrangères offrent des sites remarquablement conçus, avec des renseignements de premier plan aux chercheurs : forums d'entraide, historiques régimentaires, documents d'archives...
Cet ouvrage vous servira de guide dans le foisonnement des fonds et des bases de données. Grâce à lui, vous pourrez retracer en détail la biographie du militaire qui vous intéresse, parfois même son quotidien, jour après jour, attaque après attaque, bombardement après bombardement... C'est l'histoire, mais une histoire qui rejoint la vôtre : celle de votre ancêtre soldat dans les tranchées de 1914-1918.
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La bataille de Stalingrad s'étend sur environ six mois, dont trois d'offensive allemande, puis trois du siège par les troupes russes. Elle s'achève par la capitulation de la 6e armée allemande du général Paulus, en février 1943.
C'est la première défaite majeure de l'armée allemande, avec un retentissement dans le monde entier. À partir de cette date, le cours de la Seconde Guerre mondiale change complètement, car l'initiative change de côté : plus jamais l'armée allemande ne sera capable de repartir à l'offensive, pas plus à l'Est qu'en Afrique du Nord, puis à l'Ouest.
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La guerre à l'Est est, sans conteste, le théâtre d'opérations le plus important de la Seconde Guerre mondiale. Un seul chiffre résume cette évidence : sur les 4 743 000 soldats allemands tués durant la guerre, 3 549 000 ont succombé en combattant l'Armée rouge. En y ajoutant les pertes des pays satellites, notamment de la Roumanie et de la Hongrie, sans oublier l'Italie, on arrive au chiffre de 4,3 millions de morts sur le front russe. Du côté russe, l'historien G. F. Krivochev estime les pertes de l'Armée rouge à 7,5 millions d'hommes (y compris les partisans). Si on ajoute les unités polonaises, roumaines, bulgares ou tchèques subordonnées à l'Armée rouge, le total atteint 7,6 millions d'hommes. Le ratio est donc 1 à 1,8 en faveur de l'Axe (et surtout de la Wehrmacht). Même si ce chiffre est en faveur des Allemands, nous sommes loin des légendes faisant croire que le commandement russe envoyait ses hommes à la boucherie en vagues humaines mal armées et mal entraînées.
Cet ouvrage, qui ne peut évidemment résumer le cours de la guerre à l'Est en 80 pages, présente quelques batailles emblématiques, qu'elles soient connues ou non, du siège de Brest-Litovsk à l'opération Bagration, sans oublier Stalingrad ou Koursk. Elles expliquent pourquoi et comment la Russie a gagné la Seconde Guerre mondiale.
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Après lÂ'échec allemand du Friedensturm, en Champagne, le 15 juillet 1918, les Français contre-attaquent le 18 juillet contre le saillant formé par les Allemands dans lÂ'Aisne et la Marne. Le 8 août, cÂ'est au tour des Britanniques et des Français dÂ'attaquer devant Amiens et de provoquer un effondrement de la première ligne allemande qui surprend tout le monde, à commencer par Ludendorff lui-même. Le front nÂ'est pourtant pas rompu et lÂ'avance alliée piétine. Foch, le général en chef des armées alliées, prépare alors une offensive généralisée qui débute à la fin du mois de septembre et remporte des succès sans précédent sur le front britannique, tandis quÂ'à lÂ'est, Français et Américains progressent nettement moins. LÂ'avance anglaise produit un repli généralisé des troupes allemandes et, dès le 6 octobre, les Allemands proposent dÂ'entamer des pourparlers pour un armistice. À partir du 15 octobre, les offensives alliées redoublent dÂ'intensité. Nullepart les Allemands ne sont en mesure de sÂ'opposer à la pression alliée et ils finissent par accepter un armistice aux clauses très dures parce que la révolution a éclaté en Allemagne et que seule lÂ'armée peut être en mesure de rétablir lÂ'ordre et dÂ'éviter une révolution de type bolchevik.
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La bataille de Dunkerque de mai-juin 1940, est finalement peu connue : les auteurs, surtout anglo-saxons, s'attachent à l'évacuation qui a permis de sauver la majeure partie du corps expéditionnaire britannique (BEF) et plus de 120 000 soldats français, mais une féroce bataille a également été livrée. Livrée sur mer, évidemment, où les pertes alliées en navires civils et militaires ont été sévères, mais aussi sur terre, où un corps d'armée français, constitué de toutes pièces à la hâte, a été capable de tenir en échec les Allemands pendant plusieurs jours, permettant l'évacuation. Cette histoire, totalement méconnue en France, n'a encore jamais fait l'objet d'un livre.
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La bataille de Lille s'est déroulée du 25 au 31 mai 1940 dans des conditions extrêmement difficiles pour l'armée française presque totalement encerclée dans le Nord. Pour permettre le repli de nombreuses divisions mobiles vers Dunkerque, les unités encerclées dans Lille décident de se battre jusqu'au bout afin de fixer sur place un corps d'armée allemand. Au moment de la reddition, les Allemands décident de rendre les honneurs de la guerre aux défenseurs français...
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Lorsque débute la bataille de la Somme le 1er juillet 1916, les aviations française et britannique disposent d'une nette supériorité aérienne numérique. Le Fokker E III n'est plus en mesure de s'opposer efficacement aux avions alliés.
Cependant, alors que l'offensive s'enlise pendant des mois sans obtenir de progrès notables, les Allemands introduisent en première ligne de nouveaux appareils. Mieux armés, plus rapides et plus maniables que leurs homologues alliés, ils reprennent vite le dessus : c'est le début de la saga des Albatros D I, D II, D III et D V. En même temps, un nouvel as apparaît, qui symbolise à lui seul le renouveau allemand : Manfred von Richthofen.
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Retrouver un soldat de 1914-1918 et le detail de ses quatre annees de guerre - et le detail de ses
Yves Buffetaut
- Archives Et Culture
- 13 Septembre 2013
- 9782350772325
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Batailles de Flandres et d'Artois : 1914-1918
Yves Buffetaut
- Tallandier
- 1 Juillet 1992
- 9782235020909
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Le 9 avril 1917, l'armée britannique lance une offensive massive au nord et à l'est d'Arras, dans une opération préliminaire à l'offensive française du Chemin de Dames. L'attaque britannique remporte tout d'abord un succès remarquable, puis se prolonge au-delà du 16 avril, sans résultat tangible...
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Retrouvez l'histoire de tous les chars allemands de la Seconde Guerre mondiale, avec de très nombreuses photographies inédites, 24 profils en couleur, des témoignages de combattants, des ordres de bataille, des fiches techniques.
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Après les grands succès de l'opération Barbarossa de l'été 1941, les Allemands approchent de Moscou plus lentement que prévu. Chaque jour qui passe rapproche de l'arrivée de l'hiver, auquel les Allemands ne sont pas prêts. L'automne et ses intempéries arrêtent les opérations, mais lorsque le gel arrive, le terrain devient à nouveau praticable pour les chars et les camions.
Une attaque en tenailles est lancée contre Moscou, avec les 3. et 4. Panzer Armee au nord, le 2. Panzergruppe au sud et la 4. Armee au centre. Les Russes ont établi trois lignes défensives en avant de Moscou et appeler des renforts de Sibérie. Les combats se déroulent dans un froid glacial et les Allemands ne parviennent dans les faubourgs de la capitale russe qu'au nord de leur offensive, avant d'être arrêtés définitivement.
En janvier 1942, Joukov lance une contre-offensive qui surprend les Allemands et disloque leur front, mais ne parvient pas à détruire leurs armées les plus avancées. La bataille de Moscou est cependant la première grande défaite allemande de la Seconde Guerre mondiale.
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Verdun ; randonnées sur le champ de bataille ; 8 circuits à faire à pied
Yves Buffetaut
- Ysec
- Voir Et Comprendre
- 13 Octobre 2016
- 9782846732369
Pour la première fois, un guide de randonnées sur le champ de bataille de Verdun. Chaque randonnée est présentée sur quatre pages, avec un plan du trajet et des rappels historiques sur les lieux traversés. Comment randonner en apprenant et comprenant la bataille de Verdun. Ce livre vient en complément de tous les autres de la collection « Voir et comprendre », entièrement consacrée à la bataille de Verdun.