Filtrer
Support
Gwenaëlle Abolivier
-
Le premier portrait illustré d'Ella Maillart. Navigatrice, championne de ski et grande exploratrice du XXe siècle (du Caucase à l'Afghanistan) : une femme libre et indépendante !
Sa jeunesse sportive annonce l'exploratrice affranchie qu'elle deviendra : à moins de trente ans, Ella Maillart (1903-1997) a créé un club de hockey sur gazon, représenté la Suisse aux Jeux Olympiques de Paris, catégorie voile, navigué en Méditerranée avec quatre amies et participé aux premiers championnats du monde de ski alpin. Puis, fuyant une Europe meurtrie par la Grande Guerre, la jeune autodidacte fait ses humanités sur la route, choisit la voie de l'Asie, épouse le mode d'existence des nomades qui la fascinent et s'intéresse de près aux philosophies orientales.
" J'ai des yeux qui aiment voir " : sa vie durant, l'aventurière a nourri un rapport documentaire au réel. Reporter de terrain, son regard de photographe s'est posé sur les populations locales avec un souci ethnographique. Elle a capturé avec talent et sensibilité un monde en train de basculer et de disparaître pour mieux en témoigner.
Le récit de ses aventures est en grande partie illustré par ses propres photographies, dont de nombreux inédits, grâce aux fonds de Photo Élysée (Lausanne) et de la bibliothèque de Genève. -
À l'hiver 2015, Gwenaëlle Abolivier réside trois mois dans le sémaphore de l'île d'Ouessant, au bout de la Bretagne, sa région natale. Là, sous le grand phare du Créac'h, se racontent un voyage immobile et une expérience d'immersion au contact des éléments et des îliens. Elle explore les lieux et rencontre les gardiens de phare, les guetteurs-sémaphoriques, les derniers marins de commerce, et les femmes, gardiennes des lieux, qui occupent une place prépondérante sur cette île du Ponant. Ce territoire de l'extrême est à part, il entretient un rapport particulier avec la mort. Face à la mer, au contact de la nature ravagée, l'auteur vit cette expérience comme une renaissance...
-
La Forme du fleuve relate une immersion sur les bords de la Loire armoricaine, entre Angers et Nantes, dans les coulisses du grand fleuve, celles des îles et des îlots de sable. L'occasion pour Gwenaëlle Abolivier d'observer la façon dont toute cette eau douce agit sur son imaginaire et de parcourir les territoires de lisières qui étaient les préférés de Louis Poirier, alias Julien Gracq. Vivant actuellement dans la maison qui fut celle de l'écrivain, elle sonde aussi ce qui participe au génie du lieu et donne la parole à celles et ceux qui ont partagé son quotidien. Ainsi ce livre est à la fois une navigation sur le motif, une descente dans la mémoire du fleuve ainsi qu'une composition de fragments poétiques et documentaires dans les pas d'un des plus grands écrivains français.
-
Marche en plein ciel
Gwenaëlle Abolivier
- Le Mot Et Le Reste
- Litteratures
- 6 Janvier 2022
- 9782361399023
En arpentant la route empruntée par Robert L.
Stevenson il y a plus d'un siècle, Gwenaëlle Abolivier harmonise deux passions : l'écriture et la marche. À chaque pas qui l'éloigne de l'immobilité physique et intellectuelle du quotidien, elle s'ouvre un peu plus à la littérature ; fait corps avec le paysage cévenol qui accueille son évasion. Sous le ballet aérien des milans royaux, elle partage l'errance du vieux Marvejols et de son ânesse Luce - incarnations stevensoniennes rencontrées au détour des sentiers - le temps d'une parenthèse toute en délicatesse. Au fil de ces chemins où elle tutoie le ciel, la solitude lui offre l'espace nécessaire pour penser. Puis, tout en rythme, la discipline de la marche en solitaire et la force du mouvement impulsent l'écriture et délivrent ce récit.
-
Ouessant et quelques eclats de phare
Gwenaëlle Abolivier
- Les Petites Allees
- 1 Juillet 2018
- 9791092910452
-
Qui a vu monsieur Corbu ?
Gwenaëlle Abolivier
- Bernard Chauveau
- Couleurs Contemporaines
- 27 Octobre 2016
- 9782363062086
À travers ce texte-poème, Gwénaëlle Abolivier raconte son coup de coeur pour la cité Radieuse de Rezé, conçue par Le Corbusier, et ses habitants.
Écoutons l'auteur nous en parler : «La Maison Radieuse mérite d'être regardée comme un laboratoire d'une société plus solidaire, plus généreuse, plus humaine qui réussit à l'heure où le vivre ensemble est plus que jamais d'actualité, il règne encore là, à quelques kilomètres de la mer, un peu de cette apesanteur faite d'utopie et de rêves en couleurs, qui donne de la légèreté à nos vies et donne envie de croire qu'un autre monde est possible.»
-
Vertige du Transsibérien est un récit de voyage - à la fois poétique et documentaire - sur le Transsibérien.
Après, Un ticket pour le Transsibérien, un reportage qui a fait l'objet d'une série radiophonique de dix émissions diffusée sur France Inter, l'auteure revient sur ce train mythique au travers d'un récit où « les destins s'entrelacent, les vies se croisent » et où elle nous offre de beaux portraits de femmes. Des femmes qui hantent le Transsibérien ou des régions austères, comme Irène qui avoue : « toute ma vie passée ici n'a été qu'une vie de mensonges ».
Le texte prend la forme d'une grande lettre d'amour où l'auteure elle-même s'adresse à l'être aimé. Tout au long du récit, elle exprime aussi sa dette envers Blaise Cendrars qui lui a inspiré le goût du voyage et ce départ à travers l'Europe et l'Asie. Cendrars qui « se drogue à l'encre d'imprimerie ». Cendrars qui est l'un des phares de ce récit.
Avec Vertige du Transsibérien, le lecteur prend le train, appréhende des paysages majesteux, se confronte à des cultures riches et lointaines, à un continent dévasté par des problèmatiques d'ordre climatiques, sociales, économiques. Photographie littéraire de la Russie contemporaine, avec ses blessures, sa démesure, sa poésie baroque, ce récit est aussi perpétuellement irrigué par un questionnement « Faut-il avoir beaucoup vécu pour écrire, beaucoup aimé, beaucoup pleuré aussi ? » Un panorama qu'on ne regarde pas, cette fois, avec les yeux mais qui se révèle à nos sens au gré de l'écriture de Gwenaëlle Abolivier.
-
Ils ont 20 ans, ils sont amoureux et l'écrivent sans détour dans des lettres enflammées.
Poètes, artistes, musiciens, correspondants célèbres ou inconnus, tous déclarent leur passion avec la fougue de leur jeunesse. Parmi ces amoureux, certains sont partis comme soldats au front. Au milieu de la tourmente, lire et écrire des lettres leur est devenu vital. En cette année de commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, cette anthologie veut leur rendre hommage. Leurs voix sont mêlées à celles de jeunes gens et jeunes femmes qui expriment la fougue, la douleur ou la force d'aimer.
-
Le timbre de l'amitié ; lettres de jeunesse
Gwenaëlle Abolivier
- A Dos D'Ane
- 6 Janvier 2015
- 9782919372379
Une centaine de lettres d'amitié pour entendre la voix de François Truffaut, Emily Dickinson, Franz Kafka, Nicolas Bouvier, Germaine Tailleferre. En écho, les dernières lettres de personnes déportées lors de la 2e Guerre mondiale et de jeunes héros, fusillés du Mont-Valérien, lettres où l'amitié s'exprime comme un sentiment sublime. Une lecture passionnante qui invite à inventer l'amitié avec l'enthousiasme de la jeunesse.
-
Tendre est l'écrit ; lettres de jeunesse
Gwenaëlle Abolivier
- A Dos D'Ane
- 10 Janvier 2016
- 9782919372553
Voici des lettres d'enfants et d'enfance, celles de Françoise Dolto, Victor Segalen, Charlotte Brontë, Groucho Marx, Lili Brick, Elsa Triolet etc. Puis des lettres qui disent les épreuves et les crises de la jeunesse comme celles de Dostoïevski, Heinrich Kleist, Jackson Pollock, Sylvia Plath etc. Viennent des lettres de maturité, celles de Karen Blixen, Joseph Roth, Marie Curie, Hans et Sophie Scholl, si jeunes et déjà si mûrs, Simone Weil etc. Enfin voici des lettres qui disent confiance, complicité, voire fusion avec les voix de Virginia Woolf, Nicolas de Staël, l'étonnante Calamity Jane, et Francis Scott Fitzgerald. Oui, tendre est l'écrit.
-
La Bible en BD
Gwénaëlle Boulet, Bénédicte Jeancourt-Galignani, Alban Marilleau, Aurélie Abolivier, Vincent Perriot
- Bayard Soleil
- 6 Mars 2024
- 9791036362040
Un ouvrage moderne et accessible pour découvrir ou redécouvrir avec plaisir les récits fondateurs de la Bible.
-
L'invention des dimanches
Gwenaëlle Abolivier, Marie Détrée
- Rouergue
- Albums
- 6 Avril 2022
- 9782812623066
Ce livre raconte un grand voyage : la vie à bord d'un bateau avec ce temps qui s'écoule de façon si particulière, oscillant entre moments d'ennui, de silence, gestes répétés, journées à patienter etc. Il faut dans cette navigation au long-cours composer avec une élasticité particulière du temps et accepter d'y perdre ses repères. C'est pour cette raison que les marins décident, de façon aléatoire, d'un jour de repos : ils inventent le dimanche.
-
La fiancée : d'après la vie d'Odette Nilès, l'amoureuse de Guy Moquet
Gwenaëlle Abolivier, Eddy Vaccaro
- Soleil
- Noctambule
- 20 Octobre 2021
- 9782302090910
Gwenaëlle Abolivier, écrivaine et journaliste à France Inter pendant 20 ans, a découvert lors d'un de ses reportages la carrière des fusillés de Châteaubriant. En 1941, 27 résistants y ont été exécutés, parmi lesquels Guy Môquet. En plus de la lettre adressée à ses parents, il avait écrit un billet doux à son seul amour, Odette Nilès, dont le récit est révélé ici par Gwenaëlle et Eddy Vaccaro.
-
Alexandra David-Néel ; une exploratrice sur le toit du monde
Gwenaëlle Abolivier, Gopal Dagnogo
- A Dos D'Ane
- Des Graines Et Des Guides
- 21 Mai 2019
- 9782376060833
A pied, à dos de mule ou encore de yak, Alexandra David-Néel va traverser l'Inde, le Tibet et la Chine. En 1924, elle est la première femme occidentale à entrer clandestinement à Lhassa, ville du Tibet interdite aux étrangers. Elle est considérée comme la plus grande exploratrice du XXe siècle.
-
La période de célébration du centenaire de la Première guerre mondiale est l'occasion d'aborder des questions moins connues. L'arrivée en France, entre 1916 et 1918, de 140000 travailleurs chinois, dont beaucoup sont morts en arrière des lignes de front, est de ces épisodes largement oubliés. À Noyelles-sur-Mer (en Baie de Somme), le cimetière chinois de Nolette garde la trace de ces coolies qu'on appela « Célestes ». Parmi les survivants, 2000 restèrent en France, y constituant la première immigration chinoise. Cet album ravive la mémoire de ces faits.
Te souviens-tu de cet homme arrivé un matin de printemps vêtu d'un habit bleu de nuit et les cheveux noirs de jais.
Avec des mots simples qui ouvrent le coeur et sensibilisent le lecteur, Gwenaëlle ABOLIVIER nous fait entrer par la beauté et l'empathie dans le récit de la vie d'un travailleur chinois fictif, Wei, dont le destin reflète celui de milliers d'autres qui, déracinés et misérables, participèrent comme main-d'oeuvre à l'effort de guerre. La démarche, renforcée par l'illustration vive et humaniste de ZAÜ, est complétée par une seconde partie documentaire qui irrigue l'esprit en portant à la connaissance du jeune lecteur des éléments factuels, plus distanciés et impersonnels, éclairés par des données précises et une série de photographies anciennes.
-
De Saint-Malo : morceaux choisis par Gwenaelle Abolivier
François-René de Chateaubriand, Gustave Flaubert, Victor Hugo, Gwenaëlle Abolivier
- Les Petites Allees
- 22 Juillet 2013
- 9782954237688