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Cécile Guidot
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« La révolte avait des racines puissantes, elle couvait sous la surface, elle poussait depuis des années, elle se manifestait en coups de poing, en colères noires, elle donnait par périodes l'impression de sa disparition, quand la joie prenait l'avantage, puis elle revenait plus dure, en lignes de fracture, ça fissurait dans sa tête. » Claire Castaigne, la trentaine, célibataire, tatouée, motarde, est une jeune notaire idéaliste. Ce métier, c'est sa passion, sa vocation. Elle aime être aux côtés de ses clients dans ces moments cruciaux où l'argent et les sentiments se mêlent. Elle se bat avec les textes, les actes, les volontés et de plus en plus contre sa corporation et ses codes. Elle est partagée entre son amour pour le droit, son sens de la justice, et ses rêves d'une vie plus libre, plus conforme à ce qu'elle est : rebelle, solitaire, féministe. C'est le temps de la révolte, d'une autre vie.Après Les Actes et Les Volontés, couronnés de succès, Les Vanités clôt cette grande fresque balzacienne, comédie humaine passionnante où l'office notarial est le reflet de notre société, de nos révolutions sociales, financières et amoureuses.
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Claire Castaigne est embauchée dans un prestigieux office notarial. Elle a trente-deux ans, elle roule à moto dans Paris, elle porte des tatouages, vit seule, lit Marguerite Duras pendant ses pauses déjeuners, est inscrite sur un site de rencontre. Mais, dans son travail, rien ne transparaît de cette vie solitaire, secrète et différente : elle se consacre à celle de ses clients, elle est touchée par leurs drames. Tout le monde entre un jour chez un notaire pour acheter un appartement, signer un contrat de mariage, divorcer, faire face à un décès ou préparer une succession.
L'argent et les sentiments se mêlent. C'est violent, cruel, tragique, poétique et comique. Cécile Guidot raconte l'envers du décor, ce monde feutré, passionnant.
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Claire a la trentaine, roule à moto, porte des tatouages, vit seule. Rien ne la destinait à l'univers feutré de l'office notarial, avec ses codes, ses convenances, ses affinités, ses rivalités particulières. C'est une notaire douée mais iconoclaste : sauvage, rebelle et idéaliste. Elle dénoue des affaires complexes : un neveu qui doit gérer la succession de son oncle et de sa tante et s'occuper de leurs enfants, le double divorce d'un homme bigame, une artiste qui veut déshériter son fils, une femme qui révèle au cours d'une donation l'inceste qu'elle a subi dans son enfance, un homme handicapé, oublié dans une maison spécialisée, dont il faut retrouver la famille. Après Les Actes, Cécile Guidot nous offre une nouvelle plongée dans le coeur battant d'un office notarial. Les masques tombent et montrent que les actes sont souvent éloignés des volontés...
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Claire vit dans une ferme en Bourgogne. Elle a longtemps voulu être un garçon. Mais avec la fin de l'enfance sont venus de nouveaux désirs. Au collège, elle écoute Nirvana, lit Rimbaud, elle se sent différente, encombrée par son corps et ses pensées. Et alors apparaît Marie Pasolini, une jeune professeure d'histoire-géo. Claire est fascinée par cette femme. Elle ne vit plus que pour elle.
Toute l'année, elle tient le journal de cette histoire, de la jeune fille qu'elle est, de la femme qu'elle voudrait devenir.
Des années plus tard, elle retrouvera ce journal, elle se souviendra de son trouble, de ce que cette professeure lui a révélé d'elle-même.
Un roman où toute la beauté et la fragilité de l'adolescence apparaissent. L'auteure explore cet âge délicat à la recherche d'un signe, pour mieux comprendre et mieux vivre ses désirs.