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Antoine pierre Mariano
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Le Chêne et le citronnier, deux cultures, deux hommes, deux vies au travers d'une saga qui balaie le XXème siècle et ses plus grands séismes, de la boucherie de 14-18 à l'effondrement de l'URSS !
Eugène, grand bourgeois, est né dans les brumes du Nord. José, lui, a vu le jour sous le soleil de la Méditerranée et connu très tôt l'exil pour fuir la misère. Les deux hommes traverseront les violences et les horreurs des deux guerres mondiales, les déchirements de la décolonisation et la confrontation tragique entre les deux blocs tout au long de la guerre froide. Ils seront les témoins des turbulences en Europe centrale et au Moyen Orient ainsi que de la lâcheté des hommes de pouvoir. Eugène y verra d'abord la main des communistes. José le fruit amer de la fatalité.
Les deux hommes se rencontreront à trois reprises tout au long de leur vie. Trois rencontres dues aux facéties du hasard, « le plus grand des artistes » a écrit Balzac. Mais trois rencontres qui changeront leurs vies.
Leur point commun? L'un et l'autre garderont au fond d'eux-mêmes une rancune éternelle envers ceux qui les ont fait naître, rancune qui ne s'éteindra qu'avec leur mort.
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Le chômage sévit. Le pouvoir d'achat se réduit comme peau de chagrin.
Les impôts et les prélèvements sociaux augmentent alors même que l'endettement, les déficits du budget et de la sécurité sociale atteignent des niveaux record. Des entreprises ferment. Bref, la France est au pain sec.
Cette déconfiture de l'économie française est le résultat d'un processus entamé en mai 1981, avec l'élection de François Mitterrand. Pourquoi ?
Parce que le programme économique des socialistes, fortement influencé par les communistes, était irréaliste.
Les Français se sont laissé berner, par Lionel Jospin en 1997 puis François Hollande. Mais, en plus de trente ans, les socialistes n'ont rien appris et ont renouvelé les mêmes erreurs dont l'effet a été d'appauvrir la France.
Tout cela n'est pas vraiment une surprise .En témoigne cette sélection d'articles - commentés- d'Antoine-Pierre Mariano parus dans le Figaro entre 1980 et 2000. Ils sont encore, à bien des égards, actuels.
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Antoine-Pierre Mariano a rêvé lui aussi de cet état de liberté. Il a cru au bonheur de l'oisiveté. Il a découvert l'horreur de la retraite, de cette exclusion dans une époque atteinte de « jeunisme » À travers son double, Benoit Saint-Gulliez, il décrit toutes les étapes du retraité : le pot de départ, l'abandon du costume et de la cravate pour le pantalon de velours, nouvel uniforme de l'inactif qui s'endort dans le confort. Une vie consacrée aux courses, aux supermarchés, aux vacances avec des vieux, aux parties de bridge qui deviennent des compétitions sanglantes, à la philatélie, au bricolage. Un musée des horreurs pour celui qui se sent encore actif et en bonne santé.
Ce petit pamphlet plein d'humour et de dérision dénonce l'un des lieux communs de notre époque : la retraite est un purgatoire avant l'enfer du déclin. Retraités de tous les pays unissez vous pour continuer à travailler, à vivre tout simplement !